En arrivant à Adélaïde, je ressentais à la fois de l’excitation et de l’appréhension, ne sachant pas si j’allais rester plus d’une semaine en Australie ou bien rentrer en Europe.

J’ai adoré les petites maisons le long des quartiers résidentiels, la chaleur et le soleil qui m’ont procuré de merveilleux moments sur la plage de Glenelg, le centre ville entre bâtiments historiques comme l’université ou la bibliothèque publique et les magasins modernes de Rundle street.

J’ai surtout été surprise dans cette ville, qui ne m’a pas permis de trouver un emploi en quelques jours, mais qui m’a aidé à rencontrer de nombreuses belles personnes . Nous avons ri, partagé nos expériences australiennes et nos chemins, et c’était finalement le plus bel au revoir que je pouvais avoir de l’Australie.

La ville est à la fois calme et insouciante, avec des gens très gentils qui n’hésitent pas à vous aider, mais aussi bondée dans les rues commerçantes et celles des clubs alignés qui tentent de rivaliser au cœur des néons et des talons aiguilles. Je pense que j’aurai vraiment pu rester un long moment dans cette ville, même si elle était plutôt calme car sa taille humaine et le sourire des locaux m’a aidé très vite à m’y sentir bien.

J’avais cependant dès la sortie de l’aéroport l’envie de rentrer un peu chez moi et de tenter l’aventure londonienne après avoir tant voyagé et vu tant de choses. Une page s’est fermée à Adélaïde mais une nouvelle va s’ouvrir et je quitte la ville la tête pleine de souvenirs et de rencontres. 

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Arriving in Adelaide, I felt both excitement and apprehension, not knowing whether I would stay more than a week in Australia or return to Europe.

I loved the little houses along the residential areas, the warmth and the sun that gave me wonderful moments on Glenelg beach, the city center between historic buildings such as university or public library and modern shops from Rundle street.

I was especially surprised in this city, which did not allow me to find a job in a few days, but that helped me to meet many beautiful people. We laughed, shared our Australian experiences and our paths, and it was ultimately the best farewell that I could have from Australia.

The city is both calm and carefree, with very nice people who do not hesitate to help you, but also crowded in the shopping streets and those of the clubs lined up trying to compete in the heart of neon and stiletto heels. I think I really could have stayed a long time in this city, although it was rather quiet because its human size and the smile of the premises helped me very quickly feel good.

I had, however, as soon as I left the airport, the desire to return home a few time and to try the London adventure after having traveled so much and seen so many things. A page has closed in Adelaide but a new one will open and I leave the city with my head full of memories and encounters.